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Services sociaux > Quels services ?

Les « bonnes œuvres », comme on appelait les services sociaux jusque dans les années 1950, ce sont des services de toutes sortes. Ils se sont multipliés au gré des besoins de la population et des possibilités du milieu. Rappelons qu’au milieu du XIXe siècle, Québec compte 40% d’anglophones (28% d’Irlandais). Aux immigrants pauvres s’ajoutent bientôt des ruraux venus tenter leur chance en ville. En plus des épidémies et des incendies dévastateurs dans les quartiers populaires, la ville connaît des difficultés économiques sérieuses jusqu’à l’orée du XXe siècle. Les autorités craignent le désordre. Si la population augmente rapidement à partir de 1901 (passant de 68 000 à 164 000 habitants en 1951), les infrastructures urbaines ne suivent pas au même rythme. La misère est grande dans la Basse-Ville, avec ses taudis qui ceinturent le Cap. Dans ce contexte, le sort des enfants en difficulté inspire de nombreuses initiatives visant à les secourir et à les encadrer.

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▶ Échapper aux « vices » de la rue : refuges et patronages
▶ Vues d’ensemble et être aidé chez soi
▶ Être « placé » en institution
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